12 février 2018
Dans chaque collection inspirée par un pays, la créatrice parisienne imagine une bague ouverte se terminant à chaque extrémité par une tête et une boule en cristal de roche. « Il s’agit d’un personnage emblématique regardant l’avenir », explique Lydia Courteille. Elle compose ainsi une collection dans les collections avec quelques face-à-face historiques : l’empereur chinois et Mao, le chef indien Hopi et le drapeau américain ou encore l’inca Atahualpa et Francisco Pizarro. Surgissent quelques anticipations avec Soliman le Magnifique regardant une beauté dévêtue symbolisant l’émancipation de la femme.
Lydia Courteille - "Un automne à Pékin", empereur chinois en or, ambre jaune ... et Mao gravé dans du cristal de roche
Lydia Courteille - "Rosa del Inca", Atahualpa en or rose, diamants ... et Francisco Pizarro gravé dans du cristal de roche
Lydia Courteille - Chef Hopi en émail, diamants, saphirs, onyx... et drapeau américain gravé dans du cristal de roche
Lydia Courteille - "Topkapi", Soliman le Magnifique en or, diamants, grenat... et femme dévêtue gravée dans du cristal de roche
Au-delà de l’esthétique, le designer de mode Christopher Esber croit aux vertus positives qu’auraient certains cristaux portés à même la peau.
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