15 novembre 2017
Les boucles d’oreilles sont mon bijou préféré. Pas la puce, ce petit motif collé au lobe mais les pendants souples et mobiles, qui semblent d’une légèreté inouïe. Comme les créoles gansées d’opales roses d’Irene Neuwirth, les longues tiges articulées formées par des pierres chez Belmacz, les poissardes de Dorette ou encore les petits vaisseaux de Gabriella Kiss qui s’animent et captent l’éclat fugitif de la lumière. Des suspensions précieuses pour les plus audacieuses.
Agathe Saint Girons à la galerie Elsa Vanier - "Gribouillis" en titane - €180
Au Vase de Delft - Vintage en or et émail - €3800
Irene Neuwirth - En or et opales roses - $4400
Belmacz - "Carl" en or, lapis-lazuli et malachite de Russie - £3280
Lucie Houdkova - "Cocons" en ruban de plastique argenté - €80 © Petr Toman
Dorette chez White Bird - En or, argent, tourmalines, corail et diamants - €2900
Gabriella Kiss - "Clipper Ships" en or, corne, briolettes et saphirs - $9000
Maya Jewelry - "Royal" en plaqué or 22 carats - $260
Nuun - "Swing" en or et diamants
Sian Evans - "Espejo" en laiton plaqué or - £350
Au-delà de l’esthétique, le designer de mode Christopher Esber croit aux vertus positives qu’auraient certains cristaux portés à même la peau.
Dans sa collection FW23, le duo créatif Botter a transformé des petites voitures colorées en bijoux.
Voici une sélection non exhaustive de pièces portant ces nouvelles valeurs de la joaillerie.
Sur le Wing Shop de Noor Fares, on peut désormais personnaliser ses boucles d’oreilles « Fly Me to the Moon ».
Le Rouvenat du XXIe siècle perpétue et modernise les valeurs positives initiées par Léon Rouvenat.
Le World Gold Council (grande instance officielle de l’or) estime que l’on a exploité, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours, 205 000 tonnes...